Tesla vous pousse à acheter une voiture électrique avec une méthode surprenante, voici laquelle

Tesla surprend encore en France avec un nouveau concept d’essai libre-service pour ses voitures électriques. Depuis le 31 octobre, une nouvelle méthode surprenante permet d’essayer un modèle du constructeur sans l’intervention d’un employé de l’entreprise étasunienne.

Tesla Model 3 Model Y voiture électrique test essai
© Tesla

Ici, pas de rendez-vous ni de commercial pour vous encadrer. Tout se fait directement en ligne sur le site de Tesla ou via l’application officielle. Après avoir réservé, vous recevez un email avec les détails, puis l’équipe de l’entreprise vous contacte pour un créneau de 30 minutes.

Réservez votre essai d’une Tesla en totale autonomie

L’application Tesla, c’est la clé de l’expérience : elle permet de localiser, déverrouiller et démarrer la voiture. Une fois à bord, un tutoriel sur l’écran central vous guide pour la prise en main et les réglages personnalisés.

Petite précision : seuls les Model 3 et Model Y sont proposés pour ces essais, les conducteurs doivent avoir au moins 3 ans de permis, et seul celui qui a réservé peut prendre le volant, même si des passagers sont bienvenus. Rappelons que la conduite autonome n’est pas disponible pour ce test et en France tout court. Et entre nous, selon certains retours, la technologie est parfois dangereuse.

Actuellement, ce service est proposé dans dix villes avec la localisation depuis le site de Tesla :

  • Périgueux
  • Bayonne
  • La Roche-sur-Yon
  • Gouesnou
  • Cherbourg
  • Le Mans
  • Chartres
  • Roissy-en-France
  • Amiens
  • Besançon

Tesla prévoit déjà d’étendre ce service à d’autres sites dans les mois qui arrivent. Il s’agit d’un concept intéressant face à la concurrence de plus en plus rude des constructeurs chinois sur le marché des voitures électriques, notamment BYD qui lance son Sealion 7 en Europe. Rappelons que d’ici 2026, ces modèles pourraient être adoptés en masse face à la baisse du coût de production des batteries, et donc des grilles tarifaires au passage. En France, la démocratisation a encore du mal et les choses ne s’arrangeraient pas avec la baisse du budget pour le leasing social 2025.


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